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Sorbier Couture



A travers cette collection, Sorbier a voulu nous transmettre un message: la diffusion de canons esthétiques produit- il un impact sensiblement différent pour les deux sexes?


De nombreux auteurs, et notamment Véronique Nahoum-Grappe (1987), ont montré qu’une femme ne le devient qu’à partir du moment où elle affiche esthétiquement cette féminité. Le contenu de la presse dite « féminine » le rappelle de façon récurrente et conforte ce que Georges Vigarello notait en 1993, à savoir que le corps peut se transformer indéfiniment.




Travailler son corps pour le rendre conforme aux canons esthétiques en vigueur dans la société pourrait donc être considéré comme un facteur explicatif de cet engouement…


Mais pourquoi? Pourquoi « sacrifier » à des normes corporelles aussi drastiques ? Telle est la question



Avec cette histoire, Sorbier espère le retour de ces femmes que l’on voit..

Sur lesquelles l’on se retourne, et qui vous hypnotisent.



Avec elle, c’est aussi le retour de la fameuse expression “qui peut le plus, peut le moins”.

Elle, cette femme… On l’a vue porter des vêtements folk mais aussi de la Couture, toujours chapeautée et couverte de bijoux


Elle créé sa propre mode avec une liberté totale et un naturel désarmant. N’est-ce pas cela l’élégance ?



Pour finir Sorbier nous révèle cette confidence… « J’aurais aimé qu’elle s’approprie certaines de mes créations avec sa propre imagination. N’est-ce pas cela la Haute Couture ? »


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